AFFAIRE

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Nom de l'affaire

Re A. and Another (Minors: Abduction) [1991] 2 FLR 241

Référence INCADAT

HC/E/UKe 158

Juridiction

Pays

Royaume-Uni - Angleterre et Pays de Galles

Degré

Deuxième Instance

États concernés

État requérant

États-Unis d'Amérique

État requis

Royaume-Uni - Angleterre et Pays de Galles

Décision

Date

21 December 1990

Statut

Définitif

Motifs

Acquiescement - art. 13(1)(a)

Décision

Recours rejeté, retour ordonné

Article(s) de la Convention visé(s)

3 12 13(1)(a)

Article(s) de la Convention visé(s) par le dispositif

13(1)(a)

Autres dispositions

-

Jurisprudence | Affaires invoquées

-

INCADAT commentaire

Exceptions au retour

Acquiescement
Acquiescement

RÉSUMÉ

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Facts

The children were 4 and 2 at the date of the alleged wrongful retention. They had lived in the United States all of their lives. The parents were married and had joint rights of custody. In July 1989, with the father's consent, the mother took the children to England, her State of origin, for a three-month stay.

On 29 August 1989 following a telephone argument with the father, the mother decided that the marriage was over and that she would not return to the United States. The father agreed that the mother and children should stay in England until the end of October.

On 15 November 1989 the father petitioned for divorce and custody in Arizona.

In March 1990 the father travelled to England to visit the children, bringing many of the children's belongings with him. While in England the father made a number of statements to the mother and to her family that he would not seek to remove the children.

On 16 March 1990 the father obtained a custody order. The following day he instituted Convention proceedings in England.

On 25 March 1990 interim custody orders were made in England on the mother's application. The father took no part in those proceedings.

The High Court ordered the return of the children.

The mother appealed.

Ruling

Appeal dismissed and return ordered; the retention was wrongful and the father had not acquiesced in the children's retention.

Grounds

Acquiescence - Art. 13(1)(a)

The fact that the father was pursuing and ultimately obtained a custody order in Arizona was inconsistent with any acquiescence of the children's retention by the mother in England. While the father had been ambivalent in some of his statements and in some respects had not been frank, it was for the mother to show that by words or actions he had agreed to the children remaining in England. Notwithstanding the father's statements in March 1989 that he did not intend to remove the children from England, the court found that the mother herself had placed no reliance on those statements. The fact that the father was seeking a custody order in the United States could not have given the mother any reassurance. If the mother did not believe that the father's protestations were genuine it was quite unreasonable to say that there was any acquiescence. The father was making statements that he himself did not really believe; rather he felt it necessary to make them in order that his own position should not be prejudiced. Neither party trusted nor believed the other. Accordingly, the judge was fully entitled, on the facts, to reach the conclusion that there had been no acquiescence in this case. The relevance of acquiescence, in the context of Article 13, must primarily be its effect upon the person who was wrongfully retaining the children.

INCADAT comment

The position in relation to acquiescence in England must now be seen in the light of the decision of the House of Lords in: Re H. and others (Minors) (Abduction: Acquiescence) [1998] AC 72 [INCADAT Reference: HC/E/UKe 46].

Acquiescence

There has been general acceptance that where the exception of acquiescence is concerned regard must be paid in the first instance to the subjective intentions of the left behind parent, see:

Australia
Commissioner, Western Australia Police v. Dormann, JP (1997) FLC 92-766 [INCADAT cite: HC/E/AU 213];

Barry Eldon Matthews (Commissioner, Western Australia Police Service) v. Ziba Sabaghian PT 1767 of 2001 [INCADAT cite: HC/E/AU 345];

Austria
5Ob17/08y, Oberster Gerichtshof, (Austrian Supreme Court) 1/4/2008 [INCADAT cite: HC/E/AT 981].

Considering the issue for the first time, Austria's supreme court held that acquiescence in a temporary state of affairs would not suffice for the purposes of Article 13(1) a), rather there had to be acquiescence in a durable change in habitual residence.

Belgium
N° de rôle: 02/7742/A, Tribunal de première instance de Bruxelles 6/3/2003, [INCADAT cite: HC/E/BE 545];

Canada
Ibrahim v. Girgis, 2008 ONCA 23, [INCADAT cite: HC/E/CA 851];

United Kingdom - England & Wales
Re H. and Others (Minors) (Abduction: Acquiescence) [1998] AC 72 [INCADAT cite: HC/E/UKe 46];

In this case the House of Lords affirmed that acquiescence was not to be found in passing remarks or letters written by a parent who has recently suffered the trauma of the removal of his children.

Ireland
K. v. K., 6 May 1998, transcript, Supreme Court of Ireland [INCADAT cite: HC/E/IE 285];

Israel
Dagan v. Dagan 53 P.D (3) 254 [INCADAT cite: HC/E/IL 807];

New Zealand
P. v. P., 13 March 2002, Family Court at Greymouth (New Zealand), [INCADAT cite: HC/E/NZ 533];

United Kingdom - Scotland
M.M. v. A.M.R. or M. 2003 SCLR 71, [INCADAT cite: HC/E/UKs 500];

South Africa
Smith v. Smith 2001 (3) SA 845 [INCADAT cite: HC/E/ZA 499];

Switzerland
5P.367/2005 /ast, Bundesgericht, II. Zivilabteilung (Tribunal Fédéral, 2ème Chambre Civile), [INCADAT cite: HC/E/CH 841].

In keeping with this approach there has also been a reluctance to find acquiescence where the applicant parent has sought initially to secure the voluntary return of the child or a reconciliation with the abducting parent, see:

United Kingdom - England & Wales
Re H. and Others (Minors) (Abduction: Acquiescence) [1998] AC 72 [INCADAT cite: HC/E/UKe 46];

P. v. P. (Abduction: Acquiescence) [1998] 2 FLR 835, [INCADAT cite:  HC/E/UKe 179];

Ireland
R.K. v. J.K. (Child Abduction: Acquiescence) [2000] 2 IR 416, [INCADAT cite: HC/E/IE 285];

United States of America
Wanninger v. Wanninger, 850 F. Supp. 78 (D. Mass. 1994), [INCADAT cite: HC/E/USf 84];

In the Australian case Townsend & Director-General, Department of Families, Youth and Community (1999) 24 Fam LR 495, [INCADAT cite: HC/E/AU 290] negotiation over the course of 12 months was taken to amount to acquiescence but, notably, in the court's exercise of its discretion it decided to make a return order.

Faits

Les enfants étaient âgés de 4 et 2 ans à la date du non-retour dont le caractère illicite était allégué. Ils avaient passé toute leur vie aux Etats-Unis. Les parents étaient mariés et disposaient d'un droit de garde conjoint. En juillet 1989, la mère, avec le consentement du père, emmena les enfants en Angleterre, dont elle était originaire, pour une période de trois mois.

Le 29 août 1989, à la suite d'une dispute téléphonique avec le père, la mère décida que le mariage était fini et qu'elle ne retournerait pas aux Etats-Unis. Le père accepta que la mère et les enfants pourraient rester en Angleterre jusqu'à la fin du mois d'octobre.

Le 15 novembre 1989, le père demanda le divorce et la garde des enfants en Arizona.

En mars 1990, le père alla en Angleterre pour voir les enfants, y amenant beaucoup de leurs affaires. Pendant qu'il était en Angleterre, il indiqua à plusieurs reprises à la mère et à sa famille qu'il ne chercherait pas à déplacer les enfants.

Le 16 mars 1990, le père obtint la garde des enfants. Le lendemain, il forma une demande de retour en Angleterre en application de la Convention.

Le 25 mars 1990, la mère obtint en Angleterre la garde provisoire des enfants. Le père n'intervint pas dans cette procédure.

La High Court ordonna le retour des enfants.

La mère interjeta appel.

Dispositif

L'appel a été rejeté ; retour ordonné ; le non-retour était illicite et le père n'avait pas acquiescé au non-retour.

Motifs

Acquiescement - art. 13(1)(a)

Le fait que le père avait demandé et obtenu en Arizona la garde des enfants était incompatible avec un acquiescement au non-retour des enfants demeurés en Angleterre. Alors que le père avait parfois été contradictoire dans ses déclarations et n'avait dans certains cas pas fait preuve de franchise, il appartenait à la mère de démontrer que le père avait, par ses actions et par ses déclarations, consenti à ce que les enfants restent en Angleterre. La mère n'avait, selon la cour, pas cru aux déclarations du père de mars 1989, par lesquelles il indiquait ne pas vouloir quitter l'Angleterre avec les enfants. Le fait que le père avait entamé aux Etats-Unis une procédure tendant à la garde n’avait pas pu rassurer la mère. Si la mère n’avait pas cru sincères les allégations du père, il n’était pas possible d’admettre l’acquiescement. Le père faisait des déclarations auxquelles lui-même ne croyait pas ; il estimait en fait nécessaire de faire ces déclarations pour que sa propre attitude ne puisse lui être reprochée. Aucune des parties ne faisait confiance à l’autre. De la sorte, le juge pouvait à bon droit conclure qu’il n’y avait aucun acquiescement en l’espèce. Ce qui importe dans l’acquiescement, au regard de l’article 13, est l’effet qu’il produit sur la personne qui est l’auteur du non-retour illicite des enfants.

Commentaire INCADAT

La position défendue en matière d'acquiescement en Angleterre doit désormais être comprise à la lumière de la décision de la Chambre des Lords dans l'affaire : Re H. and others (Minors) (Abduction: Acquiescence) [1998] AC 72 [Référence INCADAT: HC/E/UKe 46].

Acquiescement

On constate que la plupart des tribunaux considèrent que l'acquiescement se caractérise en premier lieu à partir de l'intention subjective du parent victime :

Australie
Commissioner, Western Australia Police v. Dormann, JP (1997) FLC 92-766 [Référence INCADAT : HC/E/AU @213@];

Barry Eldon Matthews (Commissioner, Western Australia Police Service) v. Ziba Sabaghian PT 1767 of 2001 [Référence INCADAT : HC/E/AU @345@];

Autriche
5Ob17/08y, Oberster Gerichtshof, (Austrian Supreme Court) 1/4/2008 [Référence INCADAT : HC/E/AT @981@].

Dans cette affaire la Cour suprême autrichienne, qui prenait position pour la première fois sur l'interprétation de la notion d'acquiescement, souligna que l'acquiescement à état de fait provisoire ne suffisait pas à faire jouer l'exception et que seul l'acquiescement à un changement durable de la résidence habituelle donnait lieu à une exception au retour au sens de l'article 13(1) a).

Belgique
N° de rôle: 02/7742/A, Tribunal de première instance de Bruxelles 6/3/2003, [Référence INCADAT : HC/E/BE @545@];

Canada
Ibrahim v. Girgis, 2008 ONCA 23, [Référence INCADAT : HC/E/CA 851];

Royaume-Uni - Angleterre et Pays de Galles
Re H. and Others (Minors) (Abduction: Acquiescence) [1998] AC 72 [Référence INCADAT : HC/E/UKe @46@];

En l'espèce la Chambre des Lords britannique décida que l'acquiescement ne pouvait se déduire de remarques passagères et de lettres écrites par un parent qui avait récemment subi le traumatisme de voir ses enfants lui être enlevés par l'autre parent. 

Irlande
K. v. K., 6 May 1998, transcript, Supreme Court of Ireland [Référence INCADAT : HC/E/IE @285@];

Israël
Dagan v. Dagan 53 P.D (3) 254 [Référence INCADAT : HC/E/IL @807@] ;

Nouvelle-Zélande
P. v. P., 13 March 2002, Family Court at Greymouth (New Zealand), [Référence INCADAT : HC/E/NZ @533@] ;

Royaume-Uni - Écosse
M.M. v. A.M.R. or M. 2003 SCLR 71, [Référence INCADAT : HC/E/UKs @500@];

Afrique du Sud
Smith v. Smith 2001 (3) SA 845 [Référence INCADAT : HC/E/ZA @499@];

Suisse
5P.367/2005 /ast, Bundesgericht, II. Zivilabteilung (Tribunal Fédéral, 2ème Chambre Civile),  [Référence INCADAT : HC/E/CH @841@].

De la même manière, on remarque une réticence des juges à constater un acquiescement lorsque le parent avait essayé d'abord de parvenir à un retour volontaire de l'enfant ou à une réconciliation. Voir :

Royaume-Uni - Angleterre et Pays de Galles
Re H. and Others (Minors) (Abduction: Acquiescence) [1998] AC 72 [Référence INCADAT : HC/E/UKe @46@];

P. v. P. (Abduction: Acquiescence) [1998] 2 FLR 835, [Référence INCADAT : HC/E/UKe @179@ ];

Irlande
R.K. v. J.K. (Child Abduction: Acquiescence) [2000] 2 IR 416, [Référence INCADAT : HC/E/IE @285@];

États-Unis d'Amérique
Wanninger v. Wanninger, 850 F. Supp. 78 (D. Mass. 1994), [Référence INCADAT : HC/E/USf @84@];

Dans l'affaire australienne Townsend & Director-General, Department of Families, Youth and Community (1999) 24 Fam LR 495, [Référence INCADAT : HC/E/AU @290@] des négociations d'une durée de 12 mois avaient été considérées comme établissant un acquiescement, mais la cour décida, dans le cadre de son pouvoir souverain d'appréciation, de ne pas ordonner le retour.

Hechos

Los menores tenían cuatro y dos años en la fecha de la supuesta retención ilícita. Habían vivido en los Estados Unidos toda su vida. Los padres estaban casados y gozaban de derechos de custodia conjunta. En julio de 1989, con el consentimiento del padre, la madre llevó a los menores a Inglaterra, su Estado de origen, para una estadía de tres meses.

El 29 de agosto de 1989, luego de una discusión telefónica con el padre, la madre decidió que el matrimonio se había terminado y que no regresaría a los Estados Unidos. El padre estuvo de acuerdo en que la madre y los menores se quedaran en Inglaterra hasta fines de octubre.

El 15 de noviembre de 1989, el padre solicitó el divorcio y la custodia de los menores en Arizona.

En marzo de 1990, el padre viajó a Inglaterra para visitar a los menores, y llevó muchas de las pertenencias de los menores con él. Mientras estuvo en Inglaterra, el padre hizo varias declaraciones a la madre y a la familia de ella en el sentido de que no intentaría llevarse a los menores.

El 16 de marzo de 1990, el padre obtuvo una orden de custodia. Al día siguiente, inició un proceso en virtud del Convenio en Inglaterra.

El 25 de marzo de 1990, se libraron órdenes de custodia provisoria en Inglaterra con respecto a la solicitud de la madre. El padre no participó en dicho proceso.

El High Court (Tribunal Superior) ordenó la restitución de los menores.

La madre apeló.

Fallo

Apelación desestimada y restitución ordenada; la retención fue ilícita y el padre no había aceptado posteriormente la retención de los menores.

Fundamentos

Aceptación posterior - art. 13(1)(a)

El hecho de que el padre procuró y finalmente obtuvo una orden de custodia en Arizona no fue congruente con una aceptación posterior de la retención de los menores en Inglaterra por parte de la madre. Si bien el padre había sido ambivalente en algunas de sus declaraciones y en algunos aspectos no había sido franco, la madre era quien debía demostrar que mediante palabras y acciones él había prestado su consentimiento a que los menores permanecieran en Inglaterra. No obstante las declaraciones del padre en marzo de 1989 de que no intentaría llevarse a los menores de Inglaterra, el tribunal determinó que la madre misma no había confiado en tales declaraciones. El hecho de que el padre estuviera procurando una orden de custodia en los Estados Unidos no podía haberle dado a la madre ninguna garantía. Si la madre no creyó que las protestas del padre eran genuinas era bastante irrazonable decir que hubo aceptación posterior. El padre estaba haciendo declaraciones que él mismo no creía en realidad; él sintió necesario hacer esas declaraciones para no perjudicar su propia postura. Ninguna de las partes confiaba en la otra ni le creía. En consecuencia, el juez estaba totalmente facultado, sobre la base de los hechos, a concluir que no había existido aceptación posterior en este caso. La relevancia de la aceptación posterior, en el contexto del artículo 13, principalmente debe ser su efecto en la persona que estuvo reteniendo ilícitamente a los menores.

Comentario INCADAT

La postura en relación con la aceptación posterior en Inglaterra ahora se debe ver a la luz de la decisión de la House of Lords (Cámara de los Lores) en: Re H. and others (Minors) (Abduction: Acquiescence) [1998] AC 72 [Referencia INCADAT: HC/E/UKe 46].

Aceptación posterior

Se ha aceptado en forma generalizada que en lo que respecta a la excepción de aceptación posterior, en primera instancia, debe prestarse atención a las intenciones subjetivas del padre privado del menor. Véanse:

Australia
Commissioner, Western Australia Police v. Dormann, JP (1997) FLC 92-766 [Referencia INCADAT: HC/E/AU 213];

Barry Eldon Matthews (Commissioner, Western Australia Police Service) v. Ziba Sabaghian, PT 1767 of 2001 [Referencia INCADAT: HC/E/AU 345];

Austria
5Ob17/08y, Oberster Gerichtshof, (tribunal supremo de Austria) 1/4/2008 [Referencia INCADAT: HC/E/AT @981@]

Al considerar la cuestión por primera vez, el tribunal supremo de Austria resolvió que la aceptación posterior con respecto a un estado de situación temporario no sería suficiente a efectos del artículo 13(1) a), sino que, en el caso de un cambio permanente de residencia habitual, debía existir aceptación posterior.

Bélgica
N° de rôle: 02/7742/A, Tribunal de première instance de Bruxelles 6/3/2003, [Referencia INCADAT: HC/E/BE 545];

Canadá
Ibrahim v. Girgis, 2008 ONCA 23, [Referencia INCADAT: HC/E/CA 851];

Reino Unido - Inglaterra y Gales
Re H. and Others (Minors) (Abduction: Acquiescence) [1998] AC 72 [Referencia INCADAT: HC/E/UKe 46];

En este caso, la Cámara de los Lores sostuvo que no podía deducirse que había habido aceptación posterior por comentarios pasajeros o cartas escritas por un padre que recientemente había sufrido el trauma inherente a la sustracción de sus hijos.

Irlanda
K. v. K., 6 May 1998, transcript, Supreme Court of Ireland [Referencia INCADAT: HC/E/IE 285];

Israel
Dagan v. Dagan 53 P.D (3) 254 [Referencia INCADAT: HC/E/IL 807]

Nueva Zelanda
P. v. P., 13 March 2002, Family Court at Greymouth (New Zealand), [Referencia INCADAT: HC/E/NZ 533];

Reino Unido - Escocia
M.M. v. A.M.R. or M. 2003 SCLR 71, [Referencia INCADAT: HC/E/UKs 500]

Sudáfrica
Smith v. Smith 2001 (3) SA 845 [Referencia INCADAT: HC/E/ZA 499];

Suiza
5P.367/2005 /ast, Bundesgericht, II. Zivilabteilung (Tribunal Fédéral, 2ème Chambre Civile), [Referencia INCADAT: HC/E/CH 841].

En concordancia con este enfoque, ha habido reticencia a pronunciarse en favor de la existencia de aceptación posterior cuando el padre solicitante ha pretendido en un principio obtener la restitución voluntaria del menor o lograr reconciliarse con el sustractor. Véanse:

Reino Unido - Inglaterra y Gales
Re H. and Others (Minors) (Abduction: Acquiescence) [1998] AC 72 [Referencia INCADAT: HC/E/UKe 46];

P. v. P. (Abduction: Acquiescence) [1998] 2 FLR 835, [Referencia INCADAT:  HC/E/UKe 179] ;

Irlanda
R.K. v. J.K. (Child Abduction: Acquiescence) [2000] 2 IR 416, [Referencia INCADAT: HC/E/IE 285];

Estados Unidos de América
Wanninger v. Wanninger, 850 F. Supp. 78 (D. Mass. 1994), [Referencia INCADAT: HC/E/USf 84];

En el caso australiano Townsend y Director-General, Department of Families, Youth and Community (1999) 24 Fam LR 495, [Referencia INCADAT: HC/E/AU 290], se interpretó que la negociación durante 12 meses equivalía a aceptación posterior. Sin embargo, cabe destacar que, en ejercicio de su discrecionalidad, el tribunal decidió expedir una orden de restitución.