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AFFAIRE

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Nom de l'affaire

Corte di Cassazione, sezione I civile, sentenza 15 Ottobre 2013, n. 5237

Référence INCADAT

HC/E/IT 1364

Juridiction

Pays

Italie

Nom

Corte di Cassazione

Degré

Instance Suprême

Juge(s)

LUCCIOLI Maria Gabriella

États concernés

État requérant

États-Unis d'Amérique

État requis

Italie

Décision

Date

15 October 2013

Statut

-

Motifs

Opposition de l'enfant au retour - art. 13(2)

Décision

Affaire renvoyée devant le tribunal inférieur

Article(s) de la Convention visé(s)

13(1)(b) 13(2)

Article(s) de la Convention visé(s) par le dispositif

13(1)(b) 13(2)

Autres dispositions

Italian Civil Code, Art. 315; Law n. 219 (2012), Art. 2(1); Convention on the Rights of the Child 1990; European Convention on the Exercise of Children’s Rights 1996.

Jurisprudence | Affaires invoquées

Corte di Cassazione, Sez. I Civile, sentenza n. 17201/2011; Corte di Cassazione, Sez. I Civile, sentenza n. 16753/2007; Corte di Cassazione, Sez. Unite, sentenza  n. 22238/2009; Cass., ord., 2007, n. 9094.

Publiée dans

-

SYNOPSIS

Synopsis disponible en EN | FR

1 child wrongfully removed at age 13 - Divorced parents - Shared custody - Child lived in the United States until June 2012 - Return application filed with the Central Authority of the United States - Case remitted to a lower court for substantive determination - Main issues: objections of the child to return, Art 13(1) (b) grave risk exception to return - The child’s objection to return should be assessed independently of other exceptions to return, and may constitute sufficient grounds for a refusal to order return of the child

Un enfant de 13 ans illicitement déplacé - Parents divorcés - Garde partagée - Enfant résident aux États-Unis jusqu’en juin 2012 - Demande de retour déposée auprès de l’Autorité centrale des États-Unis - Affaire renvoyée devant un autre tribunal pour examiner l’affaire sur le fond - Principaux enjeux : opposition de l’enfant au retour, exception de risque grave de l’art 13(1)(b) - L’opposition de l’enfant au retour devrait être examiné indépendamment des autres exceptions au retour, et cette exception peut justifier à elle seule d’ordonner le non-retour de l’enfant.

RÉSUMÉ

Résumé non disponible